Défoncé malgré moi

Soir d’été, je décide d’aller faire un tour dans un bar, histoire de voir si je peux pas me lever une grosse bite qui me troueras le cul toute la nuit. Comme vous l’aurez compris je suis chaud bouillant. Je passe par la case salle de bain pour me faire propre bien à fond, et avant de sortir je regarde mon mètre quatre-vingt dans la glace et affute ce petit regard de pute qui m’a valu quelques baises mémorables. Bref ce soir-là j’avais envie de bite et j’en aurai. Rendu dans un de mes bars favori, à la clientèle hétéroclite mais plutôt axée S&M, et oui tout le monde a ses petits secrets, je me commande un long island ice tea, histoire de bien me mettre la tête à l’envers. En sirotant mon nectar, je scanne les mâles environnants pour en trouver un. Pas mal de monde ce soir, mais deux superbes blacks attirent mon attention.

Après un autre verre, la chaleur de l’alcool se mélange à celle de l’ambiance et je me décide à faire un tour dans un coin sombre en dandinant mon cul sous le nez de mes deux apollons. Heureusement ces deux la devaient être en manque de sexe car mon manège ne les a pas laissé indifférents et après quelques minutes je les vois qui se dirige dans ma direction. Après les salutations d’usage l’un me demande si je suis chaud pour un plan à trois, voire plus. Moi qui n’en demandais pas tant ne peux qu’accepter cette proposition, surtout que le plus grand des deux était déjà en train de me malaxer le cul pendant que mes mains s’occupaient de leurs paquets qui sous les braguettes semblaient énormes. Entre deux baisers profonds nous nous dirigeons vers la sortie sous le regard entendu du proprio des lieux.

Après cinq interminables minutes de marche nous arrivons enfin au pied d’un immeuble dans lequel nous entrons. J’ai cru me faire v i o l er dans l’ascenseur mais nous voilà sur le palier et dans le couloir d’entrée. A ce moment-là les deux mâles me foutent à poil sans que je ne puisse rien faire et mes mains sont menottées dans mon dos. Ils me disent « Alors la pute tu nous a bien chauffé, maintenant on va te baiser comme une grosse salope, on va te casser le cul. Allez fous toi à genou grosse chienne et viens sniffer ma grosse teub. » Je m’exécute sous la poussée exercé sur ma nuque et me retrouve à genou devant mes deux mâles en rut. Ils me frottent la gueule sur leurs paquets et commencent à sortir leurs morceaux, et quels morceaux, deux énormes bites noires en semi érection.

Pas le temps de les voir qu’ils me plaquent v i o l ement sur l’une d’elle. Comme je n’avais pas ouvert la bouche, ils commencent à m’insulter, me f o r c e nt à ouvrir en grand et m’enfonce son gros dard bien à fond. Après quelques va et viens cette bite devient énorme et me ravage la gorge. Les râles de plaisirs me font au moins comprendre qu’il a l’air d’aimer ça. Pendant ce temps le deuxième a commencé à me fouiller le cul avec sa langue. Ma rondelle déjà bien humide d’excitation s’ouvrait en grand et je laissais échapper des cris de jouissance étouffé par la première bite qui me ramonait la gorge en profondeur. Il a commencé à me travailler le trou directement avec trois doigts.

Je trépignais comme une grosse truie tellement c’était bon. Mon sucé dit alors à son pote « vas-y viens te faire téter le dard, je vais lui trouer sa chatte et bien la fourrer crémeuse. Je leur dis que je baise safe, mais je me prends une grosse claque et entends « ta gueule salope, les putes comme toi ça se tire à cru. Tu vas te faire féconder la rondelle, et tu vas aimer ça. On va t’engrosser la chatte, tu vas déborder de foutre ». Bien tenu je sens mes deux mâles changer de place, et une grosse bite se frotter contre ma chatte. Je me tortille et essaye de me débattre, mais j’ai les mains attachées dans le dos. Une autre baffe me fais me tenir tranquille et je ressens le gland frotter ma chatte. Malgré ma réticence, je ne peux empêcher mon trou de se dilater sous la pression de cette grosse queue. Je sais que je ne veux pas, mais j’en crève d’envie. Me faire enfoutrer par ces deux mâles puissants. Etre leur chose, leur trou à jus. J’en peux plus, cette bite juste devant mon trou béant, j’ai chaud, j’ai envie de me faire remplir, de sentir de la bite dans mon cul, et sans y penser plus je recule sur ce pieux qui m’écarte la chatte et s’enfonce au fond de mon trou. Regarde là cette pute, elle fait sa mijaurée mais tu lui titille le trou avec une bite et elle s’enfonce dessus. Putain c’est de la bonne salope, on va te baiser ma pute, tu vas prendre cher. On va bien se lâcher avec ta bouche et ta chatte.

Il a commencé à me pilonner la chatte pendant que son pote m’enfonçait son gros dard au fond de la gorge. J’en pouvais plus. C’était trop bon de sentir ces deux énormes bites me piner par tous les trous. Une grosse rasade de poppers me transforma en la plus grosse des grosses putes et me fit crier mon plaisir malgré la grosse queue au fond de ma gorge. Sans plus de cérémonie ils ont changé de place et je me suis fait défoncer par le second mâle tandis que le premier me fout sa bite coulante de mon jus de cul au fond de la gorge. Le poppers aidant je lui ai fait une gorge profonde pendant que l’autre queue rentrait dans mon cul ouvert par le désir de me faire engrosser comme une chienasse. Et c’est reparti, je me fais encore défoncer par tous les trous, un vrai bonheur ces deux queues, ces deux mâles qui m’utilisent pour leurs plaisir égoïste, mais si ils savaient à quel point ils me font jouir du cul et de la bouche. Après une bonne demi-heure de pilonnage, le premier commence à grogner qu’il va me féconder la chatte

Oueh putain salope tu vas me faire cracher avec ta chatte goulue

Vas-y engrosse moi comme une pute, fourre moi au foutre

Oh putain c’te salope, tu la sens bien ma grosse bite qui te perfore la chatte, putain je vais t’engluer le cul

Et son pote de l’encourager à bien m’enfoutrer et qu’il va bien tasser et me doser après.

Ca y est, ça vient oueh putain la prends tout mon jus salope, oueh prends tout au fond de ton cul de pute espèce de chienne.

Je senti cinq ou six jets de foutre bien chaud me remplir les tripes et commencer à me sortir du cul autour de la bite de mon enculeur. Ses coups de bites se firent plus calmes et il dit à son pote de venir se finir pendant qu’il me donne son chibre à nettoyer. Le deuxième me baisa la chatte déjà débordante de foutre avec ce bruit caractéristique de la chatte foutreuse bien pilonnée. Le premier me choppe alors les cheveux pour me balancer un gros mollard dans la gueule et m’ordonne de lui nettoyer la teub.

Allez salope nettoie ma bite maintenant. Tu vas bien bouffer mon foutre et le jus de ta chatte mélangés. Bouffe bien et rends-moi la bien propre salope.

(le deuxième) Oh putain je vais cracher, je vais lui fourrer la chatte au foutre. Regarde la cette salope qui va se faire remplir, se prendre une deuxième dose de jus dans la chatte. Oueh putain ca y est je crache, ouehhhhh prends tout salope, prends tout dans ta chatte.

Je sens ma chatte devenir encore plus gluante et je comprends que je viens encore de me faire doser par une bonne quantité de foutre bien chaud. Pour bien se finir mon baiseur me donne une dizaine de coup de reins brutaux, encore plus brutaux que pendant la baise, qui me secouent dans tous les sens et me foutent la tête première sur le matelas. Je lui ai aussi nettoyé la bite sous un flot d’insultes, putasse, sac à foutre, garage à bite, sale pute….

Epuisé par cette baise mémorable, je me laisse tomber sur le matelas avec le cul encore béant pour me reposer cinq minutes. Mais c’était sans compter l’ardeur de mes deux baiseurs, et avant que j’ai eu le temps de dire ouf, je me suis fait retourner comme une crêpe et une bite c’est fourrer dans mon cul.

Quand on lève une salope comme toi ma chérie on la baise pas qu’une fois, on se vide les couilles pour la semaine.

Et soudain la sonnette retenti

Ah oueh, on a appelé des potes pour te baiser à fond, ce serait dommage qu’ils se vident pas les couilles dans ta chatte eux aussi.

Alors toute la nuit j’ai sucé, je me suis fait baisé comme une pute, je dégoulinais de sperme qui ressortais de mon cul grand ouvert qui ne se refermait plus.

Putain ça a été trop bon de se faire baiser comme ça.

HOTFIREHOLE